vendredi 2 mai 2014

POURQUOI LE COLONEL EDOUARD ETONDE EKOTO EST ACQUITTE ????

 
Le colonel est de retour  ! 
Après 6 ans 1/2, il retrouve la vie d'un homme libre comme il l'a toujours été, ce qui explique la cabale d’état dont il a été victime. Ce qu'il faut rappeler, c'est que dans l'affaire dite du port autonome de Douala (PAD), la cour suprême l'a reconnu non coupable des faits de détournement de deniers publics en coaction, cassant ainsi l’arrêt de la cour d’appel du Littoral rendu en 2009 contre l’ancien délégué du gouvernement auprès de la CUD de Douala, qui le condamnait à 15 ans d’emprisonnement en raison d'un supposé détournement de deniers publics présumés. 
Rappelons qu'au cours d’un conseil d’administration, l’ancien président du Conseil d’administration du port autonome de Douala avait reçu 20 millions de francs au titre d’une résolution adoptée et pratiquée au PAD. Par ailleurs, tous les autres administrateurs ont également eu droit à cette facilité, l’ensemble de ces décaissements s’élevait alors à 45 millions Fcfa, conformément aux dispositions internes. Rien d'anormal donc !!! !
Or, par la suite, histoire de justifier la chasse au Colonel, on se souvient que c'est à grands coups d'articles orientés, de plaidoiries pleines de mauvaise foi, qu'il avait été présenté comme un " prévaricateur des deniers publics". Force est de reconnaître qu'après 2310 jours de prison, les juges de la cour suprême ont conclu que le colonel  n’a pas posé un acte délictueux. "Il a touché une somme qui lui était due selon les règlements de l’entreprise. En effet et contrairement aux allégations faites par certains administrateurs devant les magistrats des juridictions inférieures, la résolution objet du litige a bel et bien existé dans le fonctionnement du PAD. N’étant pas gestionnaire, il ne pouvait pas juger de l’opportunité d’encaisser le chèque qui lui était tendu", a expliqué son avocat Me Dieudonné Happi, invitant la justice à un examen de conscience après cette victoire." Il faut que les magistrats prennent leurs responsabilités, s’est-il énervé. Ils doivent prendre exemple sur ce que vient de faire la cour suprême... Si des gens pensent qu’il faut toujours attendre des ordres d’en haut, c’est dommage!", a t-il lâché. 

Après la chute, le temps de la vérité a sonné, le vent a changé de direction. Honneur et respect pour le Colonel ! 

L3E 
 

mardi 29 avril 2014

LE COLONEL EDOUARD ETONDE EKOTO EST LIBERE.......APRES 2310 JOURS DE CAPTIVITE !!!!!


Une chose est certaine, IL EST LIBRE......acquitté après une audience marathon devant la " justice" à Yaoundé, la capitale administrative du Cameroun. 
Le kidnapping n'avait que trop duré......depuis le 13 décembre 2007, soit 2310 jours !
L'histoire retiendra que le COLONEL, toujours aussi fier et debout,  a été ACQUITTE , jeudi 30 avril 2014.....2h15 !
La vérité l'emporte toujours sur le mensonge, même si le chemin du triomphe peut s'avérer laborieux. 

L3E

lundi 24 mars 2014

THIERRY ATANGANA ET TITUS EDZOA LIBRES.....BIENTÔT AU TOUR DU COLONEL ???

 
"Mieux vaut tard que jamais", dit le dicton populaire. En effet, Thierry Atangana et Titus Edzoa sont libres après plus d'une décennie passée dans les geôles camerounaises.Puisse l'alinéa n° 6 du spectaculaire décret présidentiel, lire billet précédent, s'appliquer au Colonel ? Tout est possible, encore plus maintenant que notre bien aimé président est, semble t-il, touché par la grâce. Pourvu que la mansuétude de notre " phare de la nation" se poursuive, ce qui pourrait déboucher aussi à très proche terme, espérons le, sur la libération du Colonel 3 E.
En attendant, un heureux dénouement, les témoignages respectifs de Thierry Michel Atangana et de Titus Edzoa, ancien homme de confiance de président camerounais,  apportent un éclairage intéressant sur le Cameroun aujourd'hui.
 
L3E

mercredi 19 février 2014

LE COLONEL ETONDE EKOTO PROFITERA T-IL DU DECRET PRESIDENTIEL "EXCEPTIONNEL ET LUMINEUX" ?????

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Comme ça donc, le locataire du Palais d'Etoudi serait une âme charitable ? Qui l'eût cru ?
C'est ce que laisserait entrevoir le tableau d'honneur, ci-dessus, pardon le décret présidentiel, sur les remises de peines ciblant ceux que la " voix de la nation" a qualifié de " prévaricateurs" des deniers publics, histoire de justifier la campagne d'emprisonnement de personnalités camerounaises via l'opération Epervier. Le pouvoir a t-il été touché par la grâce ?
C'est le constat que pourra faire Michel Atangana, le Camerouno-Français emprisonné depuis 1997, une fois libéré après avoir été condamné à 15 ans de prison en octobre 1997 pour le détournement de 1,1 milliard de francs CFA (1,6 million d'euros) et la tentative de détournement de 59,4 milliards de francs CFA (90 millions d'euros), puis de nouveau condamné à 20 ans en octobre 2012. Excusez du peu, le Cameroun c'est le Cameroun !
Enfin, il ne reste plus qu'à espérer que le Colonel 3E profitera de "l 'exceptionnelle mansuétude" du "phare de la Nation", "du guide suprême", notre "bienfaiteur bien aimé", pour en finir avec sa détention pour le moins arbitraire depuis cette nuit du 13 décembre 2007. Bientôt libre, lui aussi? On se prend à rêver.  
"Mieux vaut tard que jamais", dit l'adage populaire.Colonel, on y croit dur comme fer !!!!
L3E


lundi 6 janvier 2014

MEILLEURS VOEUX AU COLONEL ET BONNE ANNEE 2014 !!!!



A l'entame d'un nouveau cycle de 365 jours, c'est l'occasion de repartir sur de nouvelles résolutions, de faire de nouvelles promesses et de prendre de nouveaux engagements.
Cette année, encore plus que d'habitude, nous ne manquerons de nourrir des pensées fortes pour ceux qui restent loin des leurs, à l'image du Colonel Edouard Etonde Ekoto, qui a passé le cap des 2100 jours en captivité depuis le 13 décembre 2007, jour de son arrestation dans le cadre de l'opération dite Epervier.
Autant dire une éternité pour lui, sa famille, ses amis et connaissances.Alors, en cette nouvelle année 2014, nous unirons encore et encore, toujours aussi résolument, nos actions diverses, pour favoriser le dénouement d'un calvaire insoutenable tant moralement, physiquement et financièrement.
Et puisque le nouvel an est l'occasion de formuler de nouveaux vœux, nous en profitons pour vous souhaiter tout le bonheur du monde, à commencer par la santé, la sérénité, la joie et la prospérité. De la même manière, nous invitons les dirigeants des pays africains à cultiver la philosophie de la sagesse et de la paix afin que le berceau de l'Humanité se distingue autrement que par le chaos au quotidien et la misère comme destin
Il est temps qu'ils conjuguent activement l'adage médiéval " La charité bien ordonnée commence par soi-même". Cela conduirait, par exemple, au reflux de procès politiques protéiformes et vers l'instauration de véritables régimes démocratiques, les seuls capables de garantir la prospérité en Afrique ainsi que de réelles libertés individuelles à ses enfants. 


Bonne année 2014 !!!

L3E  


lundi 1 avril 2013

LA MISE AU POINT DU COLONEL EDOUARD ETONDE EKOTO !!!



Le quotidien "La Nouvelle Expression" l'avait intégré dans une liste baptisée "les créatures de Biya", pour relater l'histoire de ceux que le pouvoir d'Etoudi avait enrôlé dans son système politique et administratif, avant de les lâcher. Erreur ! Le Colonel a apporté un démenti cinglant à cette article, contraignant la rédaction du quotidien à battre sa coulpe dans une note ci-dessous destinée à ses lecteurs.

" La Nouvelle Expression n’avait jamais dit que "les créatures de Biya" étaient les hommes et femmes qu’il a donnés au monde. Encore moins ceux qu’il a envoyés à l’école ou introduits dans la vie active. Comme l’avait dit l’éminent professeur, «les créatures de Biya» sont ceux qu’il a enrôlés dans son système politique et administratif. Peu importe leur âge et leur fortune antérieure. Et dont certains se retrouvent aujourd’hui dans la nasse de l’opération épervier. Le colonel Etondé peut brandir un parcours impressionnant et admiré de tous, et contre lequel nous n’avons d’ailleurs rien eu à redire. Mais nous demeurons convaincus qu’il n’aurait jamais connu l’humiliation de passer ces temps précieux de la fin de sa vie dans une prison, pour des questions de détournements présumés de deniers publics, si le président Biya ne l’avait pas embarqué dans son système. Nous ne savons pas si le colonel pense le contraire là où il est mis au frais. Mais c’était le sens de notre analyse."

Qu'on se le dise, malgré 5 années d'emprisonnement, le Colonel reste droit dans ses bottes, et ne baisse pas les bras, comme l'espérait l'homme qui a imaginé une opération de liquidation politico-judiciaire de personnalités camerounaises phares. Lire son droit de réponse ci-contre.

L3E

 
 
Monsieur le Directeur de publication, Dans le N° 3220 du mardi 24 Avril 2012, un article paru est à la Une de La Nouvelle Expression, sous le titre L’opération Epervier: «Biya, l’art de broyer ses créatures». "Citant pêle-mêle les créatures de Biya", j’ai eu la désagréable surprise de voir mon nom figurer
Monsieur le Directeur de publication, Dans le N° 3220 du mardi 24 Avril 2012, un article paru est à la Une de La Nouvelle Expression, sous le titre L’opération Epervier: «Biya, l’art de broyer ses créatures». "Citant pêle-mêle les créatures de Biya", j’ai eu la désagréable surprise de voir mon nom figurer, le tout premier, dans la liste de "ces personnalités et ministres dont les noms et les titres dans le système du Renouveau et surtout leurs fortunes supposées", «terrorisaient tous les hommes humbles de la république et d’ailleurs». Si cet article avait été signé par un jeune journaliste qui aurait eu pour excuse l’ignorance de l’inexpérience, je ne me serais pas cru obligé de vous adresser cette correspondance en guise de Droit de réponse que je vous prierais de faire publier selon la réglementation en vigueur.
En effet, le papier signé du Rédacteur en chef de La Nouvelle Expression , un Journaliste chevronné qui ne peut prétendre ne pas connaitre le Colonel ETONDE EKOTO dont le rôle, en qualité de responsable de la préparation militaire dans les années 1970, pour ne s’en tenir qu’à cet aspect, l’avait fait connaitre d’une grande partie des jeunes de cette période.
Mon départ à la retraite par anticipation en 1978, à 41 ans, n’avait pas alors manqué de susciter un certain intérêt et des interrogations que M. NOUWOU ne peut pas prétendre ignorer.
Est-ce alors parce que je n’occupais pas de fonctions officielles entre 1978 et 1999 que je n’existais pas? Peut-on avoir l’outrecuidance d’affirmer que le président d’AGROCOM, membre du bureau du GICAM depuis 1997 est un illustre inconnu ? Depuis quand dans ce pays, avoir l’humilité ou la modestie de créer et diriger, sans tapage, de multiples organisations agricoles comme l’ANACAM (association des producteurs et exportateurs d’ananas), le GROPFEL (Groupement des producteurs des fruits et légumes), serait un signe de médiocrité? Pour autant et bien que hors de l’administration,il est arrivé à plusieurs reprises que je sois sollicité pour appuyer l’Etat à :
- organiser et diriger le projet de diversification et de promotion des exportations agricoles (PDEA) financé par l’Agence canadienne de développement international (ACDI), lequel a donné naissance à AGROCOM, association reconnue d’utilité publique par un décret de 1995.

- Organiser le monde de PME/PMI qui a abouti à la création de la Fédération Nationale des Associations de PME/PMI (FENAP);
- Organiser la participation des investisseurs camerounais dans le cadre de la privatisation de l’OCB (Organisation camerounaise de la banane).
 
Sachez monsieur NOUWOU, que le Colonel ETONDE EKOTO a été au Lycée Leclerc de Yaoundé en même temps que le Président Biya; qu’il a eu le grade de Capitaine en 1961, commandé et pacifié la Sanaga Maritime en 1963. Avec le grade de Chef de bataillon, il commande le secteur militaire de l’Ouest qui s’étendait jusqu’à la frontière du Nigeria bien avant le retour du président BIYA au Cameroun. Lieutenant-colonel, il a en 1967, rouvert l’Ecole Militaire Inter Armes, construit la piscine et la plupart des nouveaux bâtiments de l’école et recruté comme élèves-officiers, les futurs présidents SANKARA et COMPAORE entre autres.
Il est vrai qu’avec la tendance bien camerounaise de réécrire l’histoire, bien des esprits chagrins ont bien tenté d’effacer cette page de ma vie. Aujourd’hui, c’est La Nouvelle Expression qui la fait commencer au début de son troisième avatar.En acceptant enfin de reprendre une activité administrative en 1999 comme président du conseil d’administration du Port Autonome de Douala, je n’étais pas dans le besoin et comme rappelé plus haut, mon activité au privé m’avait valu d’être coopté membre du bureau du GICAM. Planteur de bananes et d’ananas, j’étais président du COLE-ACP, le Comité de liaison Europe-ACP pour la promotion des fruits et légumes, fleurs tropicales et plantes ornementales. A ce titre, en relation avec la recherche, nous devions améliorer l’offre ACP dans le marché européen pour faire face à la concurrence, notamment des produits asiatiques et de la zone Dollar. Les réunions annuelles avec les compagnies aériennes nous permettaient de fixer les prix du transport et les volumes à réserver dans la mesure du possible pendant les périodes de forte demande.
Le COLE-ACP que j’ai présidé de 1984 à 2002, était financé en grande partie par la Commission Européenne et tenait une assemblée générale chaque année dans un Etat ACP, où j’étais toujours reçu par des dignitaires et parfois les Présidents des Etats comme à Madagascar où j’avais renoué avec mon condisciple du Cours supérieur inter armées ou en République Dominicaine où mon Epouse et moi avons été conviés en 1992 pour le 500e anniversaire du voyage de Christophe Colomb.
Monsieur le Directeur de publication, vous vous doutez bien que je me suis fait violence pour écrire ces quelques lignes; mais le respect que j’ai pour votre organe de presse et sa notoriété ne me laissaient aucun choix.
J’ai déjà dû assumer en silence, les incongruités et les iniquités de notre système judiciaire que j’ai trouvé parfaitement exposées dans un ouvrage collectif dirigé par Charly Gabriel MBOCK et intitulé L’OPERATION EPERVIER, UN DEVOIR D’INJUSTICE ? En me demandant à chaque fois, jusqu’où mes amis pouvaient aller et pourquoi un tel acharnement contre ma personne.
Nationaliste intransigeant, j’ai été exclu de l’internat du Lycée Leclerc en 1956 en classe de Première, suite aux évènements de mai 1955 consécutifs à la dissolution et l’entrée en clandestinité de l’UPC. C’est dire que ce pays, je l’ai vu naître, je l’ai porté dans mes bras et versé mon sang pour lui. Si je n’ai pas cru nécessaire de proférer des menaces, c’est simplement parce que l’Officier, Saint Cyrien et breveté de l’Ecole Supérieure de guerre que je suis, ne parle pas en vain.
Nommé Adjoint au Délégué du Gouvernement de la Ville en novembre 1987, je me suis abstenu de travailler à la Communauté Urbaine de Douala (CUD) depuis 1990. Nommé Délégué du Gouvernement en 2001, j’ai refusé de toucher les indemnités qui m’étaient légalement dues. C’est mon sens de l’honneur. Le Colonel Etonde Ekoto, Délégué du Gouvernement, a habité sa maison et ne s’est pas fait acheter de voitures par la CUD. Il a utilisé ses voitures personnelles pendant tout son mandat.
Autorisé par la Banque Mondiale à réhabiliter deux tronçons de voirie pour 33 milliards de Francs Cfa, j’ai trouvé des entreprises qui les ont réalisés à un meilleur niveau de qualité avec 20 milliards FCFA et je n’ai pas organisé le partage du reste. Un troisième lot de plus de 08 kilomètres de grande Voirie à quatre (4) voies, inscrit cette réalité à jamais dans le paysage de Douala, entre le Rond point CCC et Ndokoti d’une part, et entre Nyalla Marché et Yassa sur l’axe lourd, d’autre part.
Je ne suis pas de la Génération des «créatures de BIYA». Fame Ndongo «l’éminent professeur d’Universités et l’un des plus anciens idéologues du régime» en est sûrement. Monsieur NOUWOU ne sait certainement pas que Madame Etonde Ekoto mon épouse, enseignante à l’Université de Yaoundé depuis 1968, membre de la Fondation française de l’Enseignement Supérieur, a eu Monsieur Fame Ndongo comme étudiant, Mendo Ze Gervais et bien d’autres aussi.
Il faut toujours faire attention à l’amalgame. Producteur agricole honorablement connu à Rungis et à Bruxelles, j’aurais pu, s’il y avait encore un minimum d’élégance et de probité dans ce pays, recevoir témoignage de tous les enfants que j’ai encadré depuis 1982 dans l’industrie de la Banane.
Vous invitant dans ces conditions au recadrage ci-dessus dans l’intérêt de l’histoire, je vous remercie, conformément aux prescriptions de l’article 53 de la loi n° 90/052 du 19 décembre 1990 sur la liberté de communication sociale, de bien vouloir insérer par publication dans votre prochaine édition, le présent DROIT DE REPONSE aux mêmes places, présentation et caractéristiques tel que prévu par la loi.
 
Veuillez croire, Monsieur, à l’assurance de mes sentiments distingués.


 

jeudi 13 décembre 2012

13 DECEMBRE 2007-13 DECEMBRE 2012: 1825 EME JOUR DE CAPTIVITE POUR LE COLONEL ETONDE EKOTO !

 











Embastillé depuis cette nuit du 13 décembre 2007 de sinistre mémoire, moment tragique et de grande tension, instant où les commanditaires de "l' opération Epervier" paniquèrent après avoir commis l'irréparable, c'est à dire envoyer le Colonel Edouard Etonde Ekoto en prison.La panique aidant, le cerveau de l'expédition punitive via un procès à charge ne savait plus où donner de la tête au moment du verdict qu'il avait pourtant préparé depuis son bureau d'Etoudi, ce qui l'avait même conduit à donner l'ordre de transférer nuitamment vers Yaoundé le Shérif ou l'homme fort de Douala, apeuré de voir échapper sa " proie", fantasmant sur une éventuelle évasion organisée par des forces militaires venues d'ailleurs. Ô misère intellectuelle quand tu nous tiens !
La décision finale et plus "sage" fût prise, après qu'un terrible vent de panique eût soufflé dans les cerveaux des exécutants des basses oeuvres du Prince . Le Colonel fût transféré au Bagne de New-Bell où il entame son 1825 ème jour en captivité. Entre temps, il a remporté une victoire retentissante dans le bras de fer l'opposant au pouvoir, en obtenant une relaxe totale dans l'affaire CUD. Désormais, il lui reste à mener victorieusement l'ultime bataille que constitue l'affaire PAD, une  énième manœuvre menée depuis le QG de la République où le grand manipulateur concentre tous ses efforts et sa puissance diabolique pour ne pas définitivement perdre la face à l'homme qui n'a pas dit AMEN à ses dérives d'autocrate tropical. Colonel tenez bon, la vérité triomphera du mensonge, ce n'est plus qu'une question de temps. Putain 5 ans déjà !

L3E
 

TALK DE PARIS - PAUL BIYA - FR par france24